Master 2 Droit Social et Gestion des RH de l’Université d’Orléans : 8ème au classement SMBG

Toute l'équipe pédagogique du Master 2 Droit Social et Gestion des RH de l'Université d'Orléans a le plaisir de vous informer que le Master se situe dans le classement des meilleurs masters en droit social : http://www.meilleurs-masters.com/master-droit-social.html .

La formation est cette année en 8ème position du classement SMBG soit 2 places de plus que l’an passé. 

 

 

« Rapprochement école / entreprise : le pari d’une orientation d’avenir »

Titre: « Rapprochement école / entreprise : le pari d’une orientation d’avenir »
Lieu: POLYTECH – ORLÉANS LA SOURCE – AMPHITHÉATRE CABANNES
Description: Parce que les métiers de l’industrie sont peu connus, la Semaine de l’Industrie
apporte un éclairage sur ce qu’ils sont vraiment : passionnants, diversifiés,
évolutifs…
D’ici à 2015, l’industrie recrutera entre 80 000 et 100 000 hommes et
femmes, par an, dans toute la France.
Des partenariats école / entreprise doivent se créer ou se renforcer pour
former les salariés de demain au plus près des
À PARTIR DE 18H00
À POLYTECH – ORLÉANS LA SOURCE
AMPHITHÉATRE CABANNES
PROGRAMME :
18h00 : Accueil
18h15 : Introduction par Pierre-Étienne BISCH, Préfet de la Région Centre et du Loiret
18h30 : Intervention de Jean-Claude BILLIET, Responsable du CERPEP (Centre
d’Études et de Recherches sur les Partenariats avec les Entreprises et les Professions)
19h00 : Table ronde / débat avec :
– Patrick BOURRELIER (UIMM)
– Jerry GRAS (CCI Loiret)
– Agnès BOUTÉ (Inspection Académique
en charge de l’Information et de
l’Orientation)
– Michel KHAIRALLAH (Inspecteur
Pédagogique Régional)
– Véronique BLANC (Responsable
Adjoint du CERPEP)
– Chantal PROUST (POLYTECH)
– Karine VIARD (Inspection Académique
en charge de l’enseignement technique)
– Bruno RACAULT (MSL CIRCUITS)
20h30 : Conclusion
Cocktail pour continuer les échanges
pour s’inscrire cliquez : http://form-prod.loiret.cci.fr/index.php?id=nndqftsjglksvxut

Heure début: 18:00
Date: 2014-04-10
Heure fin: 21:00

2000 emplois, 2000 sourires 2014

Titre: 2000 emplois, 2000 sourires 2014
Lieu: ZENITH d'Orléans
Description: L'EVENEMENT
Le concept est un évènement novateur, original et convivial permettant une
véritable rencontre entre les jeunes, les entreprises et les organismes de
formation.
C'est aussi l'opportunité pour les entreprises de contribuer à leur responsabilité
sociétale en aidant les jeunes dans leur démarche de recherche de premier
emploi.
LIEU : Zénith d’Orléans

DATE : le jeudi 15 mai 2014 de 9h00 à 18h00

LES JEUX CONCOURS mis en place par les médias partenaires permettront
aux publics présents de gagner de nombreux cadeaux.

LA PRESSE disposera d’un espace dédié
Heure début: 09:00
Date: 2014-05-15
Heure fin: 18:00

Stage en entreprise : ce que la loi va changer en 8 points clés

La proposition de loi relative au développement et à l'encadrement des stages a été adoptée en première lecture à l'Assemblée ce lundi 24 février 2014. Un texte qui vise à donner davantage de droits aux stagiaires. Les changements à venir pour l'entreprise.

Stage en entreprise : ce que la loi va changer en 8 points clés

L'Assemblée nationale a adopté, le 24 février 2014, en première lecture la proposition de loi relative au développement et à l'encadrement des stages. Un texte qui implique de nombreux changements pour les entreprises.

Pour une fois, l'ensemble de la gauche s'est unie pour voter de concert en première lecture à l'Assemblée nationale la proposition de loi relative au développement et à l'encadrement des stages. Chaque année, ce sont 1,2 million d'étudiants qui découvrent le monde de l'entreprise par le biais d'un stage. L'organisme d'accueil, qui prend en charge l'étudiant, doit alors se soumettre à un certain nombre de règles, que le texte est venu en partie modifier. L'enjeu de cette proposition de loi visait également à la simplification du droit puisque toutes les dispositions relatives au stagiaire ont été refondues dans le seul code de l'éducation. Les dispositions doivent encore être adoptées au Sénat. Le point sur les changements à venir.

1. Fin des stages de plus de six mois

La proposition vise à encadrer davantage la durée maximale d'un stage effectué par un étudiant dans une seule et même entreprise. Jusqu'à présent, l'article L612-9 du code de l'éducation fixait une limite de six mois, avec des exceptions. En effet, il restait possible de déroger à ce plafond dans deux cas bien précis :

– Lorsque le stagiaire interrompait momentanément sa formation pour exercer une activité visant exclusivement l'acquisition de compétences en liaison avec cette formation (ex : année de césure),

– Pour les stages prévus dans le cadre d'un cursus pluriannuel de l'enseignement supérieur.

Pendant les deux années qui suivront la promulgation de la loi, un décret viendra lister les cas pouvant justifier la présence d'un stagiaire pendant plus de six mois. Ensuite, il ne sera plus possible pour un étudiant de rester plus de six mois en stage au sein d'une même entreprise. Ce que Geneviève Fioraso, ministre de l'enseignement supérieur, a justifié devant les députés. "Si le stage est un volet de la formation, alors rien ne justifie qu'il dure plus de six mois car, au-delà de cette durée, sa pertinence pédagogique n'est pas démontrée. Dans certaines formations, les stages longs freinent le développement de l'alternance, dont la pédagogie est adaptée au temps plus long et le statut plus protecteur. Je souhaite d'ailleurs le doublement de l'alternance dans l'enseignement supérieur à l'horizon 2020."

2. Gratification obligatoire pour les stages de plus de deux mois

La question de la gratification des stages avait déjà été abordée dans le cadre de la loi Cherpion de 2011. À l'époque, la gratification des stagiaires avait été rendue obligatoire pour les stages de plus de deux mois. Montant: 12,5% du Smic (soit 436,05 euros) Cette fois, les députés ont souhaité préciser les dispositions actuellement en vigueur, évoquant certains abus de la part d'entreprises qui gratifiaient leurs stagiaires à partir du troisième mois de stage. L'amendement déposé par la rapporteur Chaynesse Khirouni vise donc à lever toute ambiguïté sur l'interprétation de l'article L612-11 du code de l'éducation (futur L124-6, ndlr) en obligeant les entreprises à rémunérer leurs stagiaires pour une convention de plus de deux mois.

3. Tickets-restaurant et frais de transport

Si les amendements du Front de gauche visant à accroitre la gratification des stagiaires ont tous été retoqués, celui portant sur l'accès pour le stagiaire au titres-restaurants ou au restaurant d'entreprise a été adopté. Cela signifie que si une entreprise dispose d'un restaurant, elle devra en assurer l'accès au stagiaire. À défaut, l'étudiant devra avoir droit aux tickets-restaurant, à la seule condition que l'entreprise y a effectivement recours pour ses employés. La participation patronale des titres restaurant ne peut dans ce cas être déduits de la gratification du stagiaire.

Il est à noter sur ce point que les titres restaurant sont pour l'employeur exonérés de cotisations patronales, sous deux conditions :

– 1/ La contribution patronale doit être comprise entre 50 % et 60 % de la valeur nominale du titre.

– 2/ Cette cotisation ne doit pas dépasser 5,33 € en 2014.

La même logique prévaut pour la prise en charge des frais de transport. L'employeur sera désormais tenu de prendre en charge une part du prix des titres d'abonnements souscrits par le stagiaire pour ses déplacements entre sa résidence habituelle et l'organisme d'accueil. Les conditions devront être fixées là encore par décret.

4. Limiter le recours aux stagiaires

Pour lutter contre le recours abusif de stagiaires dans l'entreprise, la proposition de loi prévoit de limiter le nombre de stagiaires dans l'entreprise. Ce plafonnement sera fixé par décret en Conseil d'État. Au cours des discussions, Geneviève Fioraso a été interrogée sur cette limitation. La ministre a fait savoir que celle-ci devrait s'établir sur la base d'un quota d'environ 10% du personnel de l'entreprise. Un nombre fixe de stagiaires devrait être établi pour les petites structures, afin de prendre en compte leurs spécificités.

Comme la loi le prévoyait actuellement, tout stagiaire devra être placé sous l'encadrement d'un tuteur. Ses tâches pourront être établies sur la base d'un accord d'entreprise. Pour éviter là encore tout abus, un décret sera là encore publié afin de limiter le nombre maximal d'étudiants pouvant être pris en charge par un seul et même tuteur.

5. Conditions de travail

L'employeur devra s'assurer que le stagiaire bénéficie des mêmes règles que les employés s'agissant de leur présence dans l'entreprise. Cette disposition vaut aussi bien pour le travail de nuit que pour le repos quotidien, hebdomadaire et les jours fériés. Dans une logique similaire, son temps de présence dans l'entreprise ne peut excéder celui des employés. La loi mentionnera clairement l'interdiction pour lui d'effectuer des "tâches dangereuses" dans le cadre de son stage.

6. Plus de contrôles de l'inspection du travail

La proposition de loi renforce les prérogatives des inspecteurs du travail pour le cas des stagiaires. Une procédure de sanctions spéciales a ainsi été consacrée dans le cas de manquements avérés de l'organisme d'accueil. Ainsi, l'autorité administrative pourra prononcer une amende de 2000 euros par stagiaire concerné par les manquements, et de 4000 euros maximum en cas de réitération dans un délai d'un an. L'inspecteur du travail se trouve par ailleurs habilité à informer le stagiaire, son établissement d'enseignement et l'organisme d'accueil en cas de manquement.

Sur le volet de la justice, si le tribunal des prud'hommes se retrouve saisi d'une demande de requalification d'une convention de stage en contrat de travail, il devra statuer dans un délai d'un mois.

7. Inscription du stagiaire dans le registre du personnel

Les entreprises devront eux aussi être intégrés dans le registre unique du personnel de l'entreprise, mais dans une partie spécifique. La loi Cherpion avait acté la mise en place d'un dispositif légèrement distinct, prévoyant l'inscription des stagiaires dans un registre dédié aux stagiaires, indépendant du registre des employés. Cette disposition n'avait toutefois pas été rendue obligatoire car l'ancienne majorité n'a jamais publié le décret d'application.

Cette disposition, là encore, vise à rendre plus transparent le recours aux stagiaires, et à faciliter la détection d'éventuels abus de la part d'employeurs.

8. Responsabilité accrue en cas d'accident du travail

L'Assemblée a également adopté un amendement du député Denys Robiliard afin de responsabiliser davantage l'organisme d'accueil en cas d'accident du travail, en cas de faute inexcusable de l'entreprise. Jusqu'à présent, l'organisme de formation devait supporter la réparation du préjudice subi par le stagiaire en cas d'accident du travail. L'établissement ne disposait d'aucun moyen de se retourner contre l'organisme d'accueil. L'article 7 de la proposition de loi introduit la possibilité d'une action récursoire en faveur de l'établissement d'enseignement. Il pourra donc désormais se retourner contre l'entreprise en cas de faute inexcusable de sa part.

 

En savoir plus sur http://lentreprise.lexpress.fr/gestion-du-personnel/stage-en-entreprise-ce-que-la-loi-va-changer-en-8-points-cles_46192.html#d8XYEptheR09vMCK.99

Les entreprises externalisent le recrutement des cadres

Les PME recourent moins que les grands groupes à des prestataires externes
Les entreprises françaises pratiquent moins l’externalisation que les sociétés des pays anglo-saxons et d’Europe du Nord. Selon une étude réalisée par le pôle executive du groupe Adecco sur le marché français de l’externalisation du recrutement et des prestations de conseils en informatique et en ingénierie, près de huit sociétés sur dix se sont déjà fait accompagner en matière de recrutement. Mais tous les secteurs n’ont pas la même démarche. L’industrie utilise le plus cette pratique. Elle devance la construction, la banque et l’assurance alors que le commerce adopte une attitude très réservée. L’externalisation est utilisée à 93 % pour embaucher des cadres loin devant la recherche d’employés (70 %) et d’ouvriers (38 %). La chasse aux talents difficiles à trouver parce qu’un nombre insuffisant de personnes possède l’expertise demandée pousse également les entreprises à travailler avec un prestataire externe dans l’industrie, les technologies de l’information et les télécommunications. Mais la très grande majorité des entreprises demande un service minimum. « Très peu de sociétés délèguent l’intégralité des étapes de leurs recrutements. Plus particulièrement sur les fonctions moins qualifiées et volumiques. Elles cantonnent les prestataires aux tâches chronophages à moindre valeur ajoutée comme la rédaction et la diffusion des annonces, explique Christophe Catoir, directeur général du pôle executive du groupe Adecco France. Le recours à un prestataire externe tient, sur ces publics, davantage de la relation client-fournisseur que d’une réelle relation d’externalisation.»
Cette situation s’explique également par l’importance du rôle des directions des ressources humaines. « Elles jouent un rôle plus important que dans les pays anglosaxons. Cela tient notamment à la complexité du droit du travail français», poursuit Christophe Catoir. Il existe également des différences très nettes selon la taille des entreprises. 80 % des sociétés employant plus de 500 salariés et 79 % de celles ayant entre 50 et 500 collaborateurs ont recours à l’externalisation du recrutement. Elles ne sont que 57 % quand elles comptent moins de 50 salariés. Partenariat
dans l’informatique « Les PME ne disposent pas des compétences humaines pour pratiquer l’externalisation. Les grandes entreprises choisissent de plus en plus l’externalisation pour gagner en réactivité et en flexibilité. Elles savent aussi mettre en place des cahiers des charges et réaliser un suivi qualité de leurs prestataires », analyse Christophe Catoir. La situation est totalement différente dans le conseil informatique et l’ingénierie. Près de neuf sociétés sur dix y ont recours. Là encore, plus l’entreprise est grande, plus elle sous-traite. Contrairement au recrutement, une relation de partenariat s’établit entre le client et son fournisseur. 81% des entreprises affirment faire appel à un prestataire externe depuis plus de cinq ans. 72 % jugent que leurs prestataires externes sont « intégrés ou fortement intégrés à l’entreprise ». En matière de formation, 30 % des entreprises se font accompagner. Les PME choisissent cette solution parce qu’elles n’ont aucune compétence dans ce domaine. Les plus grands veulent en priorité optimiser le coût des sessions proposées à leurs collaborateurs. ■
LE FIGARO lundi 17 février 2014

EMPLOI CADRE REGION CENTRE EN 2014 : UNE ANNEE DE STABILITE DES RECRUTEMENTS

En 2014, le marché de l’emploi cadre de la région Centre devrait être stable. C’est ce qui ressort de l’enquête menée auprès des entreprises interrogées par l’Apec. Ainsi, elles prévoient de recruter entre 3980 et 4510 cadres sur l’ensemble de l’année, soit une évolution comprise entre – 3% et + 10% par rapport à 2013.
L’évolution de leurs effectifs de cadres qui reflète leur niveau de confiance reste stable pour les entreprises du Centre. Ainsi, elles sont 7% à anticiper une augmentation de leur effectif cadre, alors que 5% anticipent une réduction de ceux-ci.
 Le bilan de l’année 2013 est quant à lui en demi-teinte : 4100 cadres ont été embauchés l’an dernier, soit 27% de moins qu’en 2012. En outre, les entreprises de la région Centre indiquent que 1300 salariés ont bénéficié d’une promotion interne au statut cadre en 2013, et que 340 nouveaux postes cadres ont été créés sur un an.
 
Recrutements de cadres en région Centre : 2014 une année stable
 
– Les entreprises de la région Centre interrogées par l’Apec, prévoient de recruter en 2014 entre 3980 et 4510 cadres, soit une stabilisation par rapport à 2013.
– Les trois fonctions les plus recherchées devraient être le Commercial devant la Production industrielle/Chantier et, exæquo, les Etudes/R&D et les Services Techniques. Ainsi, 27% des embauches de cadres seraient réalisées dans la fonction « Commercial », 13% dans la fonction Production industrielle/Chantier et 12% dans celle des Etudes/R&D et des Services techniques.
– Les trois secteurs, qui concentrent la plus grande part des recrutements seraient l’Industrie avec 42% des embauches de cadres, les Services avec 37% et le Commerce avec 11%.
– Les jeunes cadres1 (29% des recrutements) seraient les plus « courtisés » devant les cadres confirmés de 6 à 10 ans d’expérience (22% des recrutements), les jeunes diplômés2 (15% des recrutements) et les autres cadres confirmés3 (34% des recrutements). Les cadres confirmés ayant plus de 6 ans d’expérience représenteraient 56% du total des recrutements.
– Les entreprises de la région Centre se révèlent dans la tendance nationale. Ainsi, 7% d’entre elles envisagent d’accroître leur effectif cadre, 5% de le réduire, la majorité 88% prévoient de le maintenir stable, alors qu’au niveau national, 8% prévoient d’augmenter, 6% de réduire alors que 86% envisagent de le maintenir stable.
– Au niveau départemental, les entreprises de l’Indre et Loire seraient les plus optimistes de la région : 8% prévoient d’augmenter la taille de leur effectif cadre, alors que 4% envisagent de le réduire.
 
Plus d'infos : http://recruteurs.apec.fr/Recrutement/Marche-de-l-emploi/Etudes-Apec/Un-marche-de-l-emploi-cadre-stable-en-2014
 

Avec l’ADIRC : Référencement Naturel : l’art de séduire GOOGLE

Titre: Avec l’ADIRC : Référencement Naturel : l’art de séduire GOOGLE
Lieu: Le Pavillon Limère 200 Allée des 4 Vents 45160 Ardon
Description: Le 13 février, l’ADIRC vous propose un jeudi dédié au référencement naturel.

Les moteurs de recherche, Google en tête, représentent LE facteur de visibilité sur le web.

Mais comment faire pour que votre site soit trouvé et vu sur les moteurs de recherche ?

Quelles sont les meilleures techniques pour améliorer le positionnement et la visibilité de votre site ?

Entre mythe & réalité, comprenez ce qu’est le référencement naturel en 2014 et ses enjeux pour votre organisation :

– Les notions essentielles
o L’indexation
o La popularité
o La duplication de contenu
o Les idées reçues, vraies ou fausses

– L’optimisation
o L’analyse des mots clés
o Sur le site
o En dehors du site

– Le référencement et après…
o Les solutions alternatives
o L’évaluation des impacts

Heure début: 18:00
Date: 2014-02-13
Heure fin: 20:00

ARIAC Assemblée Générale du 20 février 2014, 14h à Orléans et Programme d’actions 2014

Titre: ARIAC Assemblée Générale du 20 février 2014, 14h à Orléans et Programme d’actions 2014
Lieu: Siège Caisse d’Epargne Loire-Centre 12 rue de Maison Rouge, 45140 St Jean de la Ruelle
Description: Comme chaque année, l’ARIAC organise son Assemblée générale le 20 février 2014 à 14h au siège de la Caisse d’Epargne Centre à St Jean de la Ruelle (Proche Orléans). L’ARIAC a franchi le cap symbolique des 100 adhérents en 2013 !

Programme et bulletin d’inscription sont ci-dessous.

Un plan d’accès vous sera transmis avec la confirmation de votre inscription (Attention, le parking devra se faire en bord de Loire impérativement).

Si ce message ne s’affiche pas correctement, cliquez ICI et inscription ICI.

Meilleurs voeux pour cette nouvelle année 2014 !

Philippe VILLEVALOIS
Délégué général ARIAC
02 38 71 90 11
Heure début: 14:00
Date: 2014-02-20
Heure fin: 18:00